Yasmina Laitaoui Sophrologue à Paris

Parler de soi-même de manière objective n’est pas un exercice facile. Je pourrais commencer par vous dire que je suis balance ascendant sagittaire mais je ne pense pas que cela vous intéresse…

Mon enfance…

Je suis née dans une famille où l’amour a toujours été un leitmotive, avec des parents très amoureux l’un de l’autre et des grands-parents amoureux de la vie. Ma vie se ponctuait de concerts improvisés chez ma grand-mère, de cache-cache, de jeux de rôles, de soirées festives… 

Cet amour s’est infusé dans mon cœur dès mon plus jeune âge et ne l’a jamais quitté. Malgré toutes les mésaventures et défis que la vie m’a proposée.

On a beaucoup ri certes et la joie habite mon cœur depuis toujours. Néanmoins au fils des années un prédateur s’est infiltré parmi nous. Et là j’ai moins ri, mais on se relève de tout lorsqu’on a foi en la vie. Cela m’a tout de même pris quelques années, je dois l’avouer. 

En même temps cela a fait naitre en moi l’envie de venir en aide aux femmes pour lesquelles j’ai une profonde admiration.

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Enfant, les âmes blessées m’attiraient comme une envie de toujours vouloir réparer l’autre. Par effet miroir en soignant les blessures des autres, ce sont les siennes que l’on cherche à guérir. 

Mon adolescence rime avec rébellion, pas une rébellion vestimentaire du style punk ou même alcool, sexe, et rock’n roll, mais une remise en question de tout mon univers. Tout a volé en éclat, la tradition, la culture, l’éducation, la société. Absolument tout ! Je ne parvenais pas à me trouver dans ce qu’il m’était proposé. Je me suis sentie tout à coup comme un chat évoluant chez les chiens. Je tire un grand coup de chapeau à mes parents d’ailleurs, je les fais travailler. Les enfants sont champions pour ça! 

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Les femmes blessées, meurtries auprès de qui j’ai évolué, malgré leurs sourires et leur sens de l’humour, m’ont donné envie d’être pleinement heureuse car très rapidement je leur ai ôté leurs masques, j’y ai vu leur courage, leur abnégation, leur mélancolie et leur peur.

Je suis passée de désillusions, en désillusions. 

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Alors a commencé ma quête du bonheur… 

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Devenue adulte, après l’obtention de diplômes, qui ne me correspondaient pas, mais bon il a bien fallu rentrer dans des cases, je me suis perdue.

Rien ne me nourrissait, ne me faisait vibrer, j’ai alors exploré mon moi, ma conscience. Cette période aussi difficile qu’elle ait pu être fut salvatrice.

Le travail réalisé avec mon analyste, envers qui j’ai beaucoup de gratitude, m’a aidé à défaire tous les nœuds de ma vie. On comprend alors que tout changement provient de l’intérieur, l’estime de soi, la liberté, l’amour… 

J’ai acquis au fils des années un sens de l’analyse, une vision neutre des problématiques, une empathie juste, une hauteur, un recul, une répartie.

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Devenir maman, quelle aventure ! 

La vie m’a fait cadeau de ses deux petites âmes avec qui j’avance et évolue. Les enfants mettent en lumière nos failles si on se laisse guider par eux, ils deviennent rapidement des thérapeutes hors pair et contribuent a notre développement personnel. Car finalement, qu’attend un enfant de ses parents ?

De l’amour, de l’attention, des soins, et des limites cela leur suffit à être pleinement heureux. Sauf que si nous ne sommes pas alignés, si nous n’avons pas réglé nos problématiques et bien ils nous le font remarquer. À leurs manières évidemment et ça peut faire sauter les plombs ! Mais ils viennent toujours avec des cadeaux, il faut juste être en mesure de les recevoir !

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Quand tout s’est posé en moi, que la paix a fait son entrée, et bien la clarté la suivit.

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La voie m’a semblé évidente. J’ai développé mes facultés et mes perceptions extra-sensorielles, qui ont finalement toujours été présentes. J’ai débuté par le Reiki, il y a une dizaine d’années, et puis très vite, je m’en suis détachée pour aller vers quelque chose de plus grand. Ma connexion à la Terre, qui fait tant pour nous, s’est agrandit. Prenant conscience de son importance, de sa vibration, je suis passée de la citadine, à la femme nature. 

Le changement de voie professionnelle fut une évidence. Je me suis formée à la sophrologie, puis à l’hypnose. Ce choix n’est pas anodin. Ma forte énergie, mon magnétisme combinés à ma voix me permettent d’aider facilement les gens qui rencontrent des difficultés et qui ont besoin d’un coup de pouce. Il s’agit de thérapies brèves qui n’ont plus besoin de prouver leurs efficacités.

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Quelles sont les motivations qui m’animent? 

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Cette question a résonné en moi longtemps et la réponse fut claire et précise.

Ma connexion au divin, ma conscience que nous ne sommes pas ici bas pour rien, que nous avons tous un rôle à jouer dans l’avenir de l’humanité sont les fondements de mon aspiration. La coiffeuse coupe certes les cheveux mais en plus elle écoute ses clients, donne des conseils et rend beau. Chaque métier prend une dimension plus élevée lorsqu’on oeuvre en conscience. 

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Je me sens pleine de gratitude face à la vie. 

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Au plaisir de vous rencontrez...

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Yasmina Laitaoui